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La phobie ou quelque chose cloche entre le langage et la pulsion

Auteur: SEGUIN Hélène

La phobie ou quelque chose cloche entre le langage et la pulsion

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La phobie ou quelque chose cloche entre le langage et la pulsion

Hélène Seguin , Novembre 2018

Dans ce titre que j’ai proposé, il y avait pour moi la nécessité d’expliciter quelque chose du côté de la phobie en tant que marque d’un discord entre le langage comme chaîne signifiante, et la pulsion à la fois comme effet de signifiant sur l’humain, et comme ce qui introduit chez lui la sexualité et la mort.

Comment l’infans se positionne t-il ? Ou comment le processus où il s’assujettit dans la chaîne signifiante, donc au champ de l’Autre, se produit-il ? Comment la pulsion y intervient-elle? Je pars de l’hypothèse que la phobie s’origine là : quelle place vient-elle y prendre ?

L’enfant naît dans un monde langagier, et c’est par les premières expériences d’insatisfaction que va s’ouvrir l’écart entre demande et besoin . En effet, la réponse apportée au cri de l’enfant par l’Autre maternel ou son substitut n’est pas la réponse attendue : elle ne permet pas à l’enfant de retrouver l’objet originaire, entièrement satisfaisant, l’objet attendu et définitivement perdu. Cette réponse opère une perte de jouissance.

Cette réponse n’est pas seulement satisfaction plus ou moins réussie d’un besoin, elle est aussi don d’amour. L’enfant l’ interprète comme une demande, soit quelque chose qui concerne le désir et la jouissance de l’Autre maternel.

L’insatisfaction de la demande amène son renouvellement parce que la pulsion demande à se satisfaire.

La pulsion, ou plutôt les pulsions sont un montage par lequel Freud, puis Lacan ont tenté de rendre compte des rapports de l’être humain à l’objet et de leur satisfaction.

Les pulsions sont partielles, leur source est corporelle, leur poussée constante. Elles s’originent d’un bord du trou du corps, zone érogène, passent par le champ de l’Autre, l’être vivant servant de support au langage, pour revenir sur le bord du trou d’où elles sont issues. Dans leurs trajets, les pulsions font le tour d’un objet qu’elles ratent, pour revenir sur le corps dans une sorte d’invagination. Ce trajet, qui rate l’objet à chaque fois, constitue une décharge de tension sans altérer la constance de la poussée, il se renouvelle donc à chaque retour sur le corps au point où il a émergé. Quels sont les objets des pulsions ? Freud les a définis comme externes au champ du besoin : ce sont les objets de la demande ( sein, fèces ) pour Freud, auxquels Lacan ajoutera les objets du désir ( regard, voix ) et qu’il appellera objets (a). Freud avait explicité le trajet pulsionnel en termes de grammaire, par exemple voir / être vu / se faire voir. Du fait de son passage par l’Autre, le trajet retour n’est pas la réciproque de l’aller.

Pour essayer de creuser ce qui se passe entre langage et pulsion, j’ai questionné la symbolisation primordiale, ce processus d’aliénation / séparation par lequel Lacan rend compte de la causation du sujet. ( cf Position de l’inconscient, et séminaire XI leçons des 27/05 et 03/06 1964 ). Ce processus indique comment le sujet s’instaure dans la chaîne signifiante comme inconscient, mais aussi “comment l’organisme vient à se prendre dans la dialectique du sujet” au prix d’une double perte. (Position de l’inconscient in Ecrits, édition du Seuil, p.849). Il s’effectue en deux temps : Aliénation puis Séparation, mais ne se réalise pas une fois pour toutes, c’est un processus qui reste actif tout au long de la vie du sujet, une fois établies les opérations qu’il réalise.

Le temps de l’aliénation : Lacan réfère ce moment à la logique de la réunion entre deux ensembles. Là, se pose un vel, ou l’un / ou l’autre, sur le mode : “la bourse ou la vie”. Si le sujet choisit la vie, il perd la bourse, mais s’il choisit la bourse, il perd et la bourse et la vie. A partir des cercles d’Euler, Lacan met dans un cercle l’être, dans l’autre le sens, et dans l’intersection entre les deux, il met le non sens. A ce moment, l’infants a le choix entre l’être ou le sens. Le champ du sens c’est celui de l’Autre du signifiant.

  • s’il choisit l’être, le sujet disparait et tombe dans le non sens;

  • s’il choisit le sens, il se trouve écorné du non sens qui est ce qui constitue l’inconscient dans la réalisation du sujet.

Ce champ de l’Autre comme lieu des signifiants est le seul où puisse advenir le sujet en tant qu’il est ce qui est représenté par un signifiant pour un autre signifiant, et , dans ce champ, “ça parle de lui” écrit Lacan, et c’est là qu’il s’appréhende en S1.

Il écoute et, devenu le signifiant écouté, il n’est plus en S1 mais en S2. En S1 où ça parlait de lui, il relevait d’un sens, mais devenu le signifiant écouté S2, il perd ce sens du fait de ce signifiant binaire S2. La division du sujet se constitue là entre le sens qu’allait lui conférer le fait que “ça parle de lui” et la perte découlant de ce qu’il devient le signifiant écouté. “De prendre acte de l’écoute, un se divise en deux”( P.Bruno ), division qui produit un fading du sujet ou aphanisis : apparaissant comme sens d’un côté, dans la chaîne signifiante, il apparait comme aphanisis de l’autre . C’est le moment de surgissement du sujet comme inconscient. L’autre côté est celui où S2 se trouve identifié au “Vorstellungsrepresentänz” freudien que Lacan traduit par “représentant de la représentation”. Ce premier représentant de la représentation d’une pulsion, S2, formera le refoulement originaire. Cette part perdue par le sujet ne pourra être retrouvée et ce signifiant manquant constituera un trou dans le symbolique, trou qui en sera l’organisateur.

Au prix de cette perte, le sujet, qui a choisi de s’inscrire dans la chaîne signifiante, y glissera d’un signifiant à l’autre à l’insu du moi, selon les lois du langage et les formations de l’inconscient.

La séparation, second temps de ce processus , “fait d’un parlé un parlant” (cf Pierre Bruno in Psychanalyse : du rébus au rebut), en opérant avec le manque du sujet. Ce moment de la séparation Lacan l’appuie sur la logique de l’intersection, soit des éléments communs à deux ensembles distincts, celui du sujet et celui de l’Autre, ici l’être vivant servant de support au langage. L’intersection est celle de deux manques : ( -a ) inter ( -a’ ).

Le sujet opère, avec son manque, le prélèvement d’un objet sur cet Autre vivant, servant de support au langage. Il ne prélève pas n’importe quel objet, mais un objet de la demande, soit un objet (a), créant un manque dans l’Autre. Alors deux manques se recouvrent, celui du sujet écorné de son être et celui de l’Autre écorné de (a).

Dans les intervalles de la chaîne, entre chaque signifiant, c’est le lieu de la métonymie qui véhicule le désir. C’est là que le sujet a affaire au désir de l’autre, à son opacité, pas seulement aux effets de sens d’un discours, et c’est là qu’il peut le questionner. C’est aussi là que l’organisme vient se prendre dans la dialectique du sujet via ” cet organe de l’incorporel dans l’être sexuel c’est cela que le sujet vient à placer au temps où s’opère sa séparation” ( Lacan ). Cet “organe de l’incorporel”, c’est la libido comme organe de la pulsion. Lacan ajoute dans “Position de l’inconscient” : “c’est par là qu’il peut faire de sa mort, mettant son corps en jeu, l’objet du désir de l’Autre” dans un “veut-il me perdre?” Ce moment, dans un mouvement de torsion, le ramène au premier temps, celui de son aliénation. Cette seconde opération produit un manque dans l’Autre.

Ainsi, la constitution du sujet dans l’Autre passe par une opération de division et de coupure qui sépare le sujet de la Chose ( jouissance ) et dont le reste est l’objet (a), reste vivant de la jouissance perdue à parler. C’est “un des pôles du sujet divisé” ( P.Bruno dans l’ouvrage déjà cité ).

L’angoisse se produit au point où le sujet n’a plus de représentation en tant que sujet dans l’Autre, ce point aphanisique, et se trouve identifié à l’objet (a) qu’il croit être pour l’Autre, et dont l’Autre pourrait jouir. L’objet (a) n’a pas de représentation ni d’image dans le miroir, c’est un trou spéculaire où le sujet est livré à la présence d’un Autre désirant, dont le désir énigmatique fait surgir un vide de signification.

Quelle est la spécificité de la position phobique dans ce moment de causation du sujet?

C’est d’abord un sujet qui choisit de s’inscrire dans la chaîne signifiante, en optant pour le sens plutôt que l’être, et qui choisit d’en assumer les risques. Mais, face à la privation phallique de la mère, il “se divise à l’endroit de la réalité voyant s’ouvrir le gouffre où il se rempardera d’une phobie” ( Lacan in “la science et la vérité “, Ecrits, Seuil p.877 ). Cette position de défense face à un trou sans signification qui fait surgir une menace et déclenche l’angoisse, est un accusé de réception que le sujet phobique affronte ce trou. Le trou ramène à l’écart S1_S2 qui, s’il est insuffisamment symbolisé, garde une charge imaginaire qui fait planer un danger autour du sujet.

Que se passe t-il pour l’enfant dans son rapport à l’Autre ? Faisons l’hypothèse qu’il vient comme phallus imaginaire combler le manque maternel, position tenable tant que rien ne vient bousculer cet arrangement qui se passe dans le registre de l’imaginaire. Or, deux éléments peuvent entrer en jeu qui viennent ébranler cette solution :

  • que la mère apparaisse défaillante, atteinte dans sa puissance, qu’elle devienne réelle et se profile alors la question de son désir

  • un autre élément est nécessaire pour Lacan qui reprend le cas de Hans et indique qu’il faut une intrusion de jouissance au niveau de son pénis chez le garçon autour de ce moment où le désir de la mère est convoqué. Précisons que la jouissance sexuelle est insymbolisable.

Alors, dans ce trou qui s’ouvre devant lui, le désir de la mère vient présentifier une figure menaçante qui pourrait l’engloutir : à quelle sauce va t-il être mangé? L’angoisse est la première défense du sujet.

Dans l’impasse où il se trouve il en appelle au père. Si ce dernier assume la responsabilité de se faire l’agent de la castration maternelle, soit ni un père mort, ni un père jouisseur qui serait le castrateur, mais un père du désir, gardant un reste de jouissance incastrable qui répond du désir de la mère, il pourra limiter la jouissance maternelle en s’imposant entre elle et l’enfant. Ce père vivant ou son tenant lieu, pourra déloger l’enfant de la place de phallus imaginaire de la mère, tout en opérant chez celui-ci une soustraction de jouissance en mettant son organe hors jeu provisoirement.

Mais si le père n’opère pas, l’enfant peut parer à l’envahissement de l’angoisse en interposant entre lui et le désir “menaçant” de la mère, un objet qui a pris fonction de signifiant et où il peut loger un bout de jouissance incastrable du père, mais de quel père s’agit-il ? En tout cas, cet objet qui fait peur évite l’angoisse, marquant une limite à ne pas franchir pour le sujet, au risque de rencontrer le pire.

En ce qui concerne l’objet je vous propose deux hypothèses, l’une concernant l’objet prélevé sur l’Autre dans le processus de séparation, la seconde concernant l’objet dans la phobie.

  • Lors du processus de séparation, je propose d’envisager que l’objet est d’abord prélevé dans l’Autre maternel et qu’ensuite l’enfant lui substitue un objet prélevé sur le père, dans ce moment où il se tourne vers lui. Cet objet portant la marque du désir vivant du père serait prélevé sur le père réel lorsque cette fonction répond.

  • Dans la situation du sujet phobique, cette substitution ne pourrait se faire dans les mêmes conditions. Face à la menace de l’Autre maternel, figure ici d’une jouissance innommable, il interpose un objet qu’il remplit de la férocité d’un père jouisseur, le castrateur, pour dompter la mère. Cet objet phobogène est associé à un signifiant pris dans le champ paternel, en connexion avec le père du sujet.

La phobie opère ce virement d’un objet vivant , pris dans l’environnement du sujet, au signifiant mais pas tout, il y faut l’objet réel marqué par le pulsionnel pour faire limite à la jouissance de l’Autre maternel. Le signifiant est en connexion avec le père de la réalité. On est entre imaginaire et symbolique. Avec le réel de la jouissance, le nouage des trois registres est celui de la névrose, dit Lacan dans le séminaire XXI, leçon du 11 décembre, soit un noeud olympique.

Elle s’enracine dans ce moment de la structure qu’est l’aphanisis du sujet et vient “faire suppléance à la disparition momentanée et nécessaire du sujet”, dans ce trou entre S1 et S2. Il s’agit pour lui d’éviter de disparaître dans cette opération de symbolisation, ce moment où le sujet n’a pas de représentation dans l’Autre. ( cf Isabelle Morin in “la phobie, le vivant, le féminin” ). L’enfant doit faire passer la privation maternelle du plan imaginaire au plan symbolique, soit à la castration, via la menace incarnée par le père, et, par là, accéder à la signification phallique. La phobie ne permet pas de symboliser la castration. Si l’objet phobogène lui offre une suppléance à la fonction du père réel, l’enfant qui a fait ce choix aura à dévaloriser une part de la jouissance, mais pas toute, logée dans cet objet pour qu’il puisse prendre place dans le fantasme en gardant sa part d’incastrable dont il pourra faire la cause de son désir.

La phobie, sur le plan structural, comme ” plaque tournante des névroses “( Lacan séminaire XVI, leçon des 7 et 14 mai 1969 ), me semble une réponse du sujet devant l’effroi de sa disparition dès sa naissance dans le symbolique au moment où le signifiant binaire le fait disparaitre.

Pour se séparer de la phobie, l’enfant ou l’adulte, devra symboliser le phallus, soit reconnaître la castration maternelle comme symbolique, c’est à dire l’extraire de l’imaginaire d’une castration réelle et symboliser ce manque chez lui. Si ces opérations peuvent lui permettre de se passer de l’objet phobique, s’il a perdu son efficace, reste à traiter la question structurale. Il est nécessaire de construire et défaire le fantasme en désarrimant l’objet (a) du sujet pour que la séparation soit effective et aît son efficace, soit destitution subjective d’un côté où le sujet est identifié à cet objet (a) vivant mais chu, et désêtre de l’Autre à qui revient l’objet, qui, de l’avoir troué le barre et ouvre à S(A) barré.

L’analyse me parait indiquée dans le traitement de la phobie parce que, comme le langage, soit l’espace dans lequel nous parlons, l’espace de la cure est moëbien, c’est l’unilatère de la bande de Moëbius, un trou avec un bord et une torsion, il est a-sphérique. De ce fait, le sujet, en parlant et à son insu, parcourt l’envers et l’endroit de la bande, soit fait deux tours, s’en s’en apercevoir.

Le travail de la cure fait coupure séparant la bande initiale en deux bandes , l’une moëbienne représente le sujet, l’autre, blatère, représente l’objet (a). C’est un espace sans dehors, ni dedans contrairement à celui dans lequel nous marchons. Localement, on peut y définir un envers et un endroit. L’inconscient s’y manifeste dans les intervalles de la chaine signifiante. Le sujet phobique est au bord du trou suspendu dans ce moment de l’aliénation. Contrairement au sujet pervers qui érige un fétiche à l’endroit de ce trou entre S1 et S2 et n’en souffre pas, le sujet qui a choisi la phobie y place un signifiant qui ne vient pas l’obturer, d’où la nécessité de l’arrimer à un objet réel et vivant qui, en lui faisant peur, marquera pour le sujet la limite à ne pas franchir pour éviter le pire. C’est un sujet en souffrance. La phobie est une formation de l’inconscient, et, à ce titre, elle relève d’un traitement par la psychanalyse.

En ce qui concerne les peurs que l’on peut rencontrer chez des sujets psychotiques et qui semblent se présenter à eux comme des phobies, je vous propose de revenir à ce qu’écrit Lacan dans ” Position de l’inconscient ” (Ecrits p.841) : ” De même notre sujet est mis au vel d’un certain sens à recevoir ou (c’est moi qui souligne) de la pétrification. Mais s’il garde le sens, c’est sur ce champ (du sens) que viendra mordre le non sens qui se produit de son changement en signifiant. Et c’est du champ de l’Autre que ce non sens relève, quoique produit comme éclipse du sujet “.

Là où le névrosé choisit le sens et l’inconscient plutôt que la pétrification, le psychotique me semble faire le choix inverse et aller vers la pétrification qui relève du refus de la perte et de la chaine signifiante dans son fonctionnement substitutif. La pétrification me semble correspondre à la solidification S1S2, c’est ma lecture de ce passage que je ne trouve pas repris dans le séminaire XI aussi je le mets à la discussion.

Je n’ai abordé q’une petite partie des questions que j’avais et il me semble en avoir ouvert d’autres encore avec ce travail.

Tag:Rencontres du Pari à Toulouse, Symptôme, Théorie

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