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BRUNO Pierre

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LEÇON N.

Auteur: BRUNO Pierre

LEÇON N.

  • Posté par le pari de lacan
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Pierre Bruno, Les rencontres du Pari de Lacan, Paris le 18 novembre 2023

En intitulant cette leçon Leçon n, j’ai voulu introduire une rupture dans l’ordre ordinal. En effet, dans le séminaire Leçons de réalité, j’en étais à la leçon 8, que je reprendrai par la suite, et qui sera la dernière, mais j’ai cru bon de revenir sur les enseignements que j’ai tirés dès le point final de mon livre La réalité. Ces enseignements je les ai condensés dans ce texte, que j’aurais voulu vous adresser avec ma voix, mais les circonstances étant ce qu’elles sont, je vous les livre par écrit, sous ce titre « Inventaire ». Le samedi 16 décembre, j’espère être présent pour vous faire part de la deuxième partie de cette leçon n. Elle aura pour objet de répondre, ce que je n’ai pu faire en son temps, aux questions qui m’ont été adressées par Véronique Sidoit, Françoise Corvazier et Laure Thibaudeau sur les trois parties de mon livre Écrits profanes, poésie, politique, psychanalyse. Après quoi, dès janvier 2024, je reviendrai à la leçon 8. Je veux cependant indiquer que cette interrogation sur la réalité est ce qui m’a permis d’appréhender l’enjeu décisif de ma quête, à savoir ce qu’il en est de la récusation de l’identification primaire au père, récusation qui, si elle s’avérait, constituerait une alternative majeure à la métaphysique magique ou religieuse, et au non scilicet du discours scientifique.

En un mot, que je déploierai en phrases, pouvons-nous promouvoir, au-delà de leur orthographe différente, une différence sémantique entre symptôme et sinthome. « Sin- thome, Lacan en propose une étymologie translinguistique : « sin » , le péché en anglais, « thome », du grec « tomos »,  coupure ou section. Je mettrai donc à l’épreuve la proposition selon laquelle le sinthome consiste à se séparer du péché du père qui n’est rien d’autre que de vouloir transmettre son nom à ses enfants. Bien sûr, ce péché peut prendre des formes concrètes variées, je prendrai comme exemple le père de Kierkegaard, qui n’a pas manqué d’avoir un fils qui ne signait pas ses livres de ce nom.

INVENTAIRE.

C’est le titre – dans tous les sens du mot « titre », y compris celui qui évoque l’alcool. Ce sera un inventaire segmenté en quatre parties.

-I-

Pour Freud, la réalité (Realität) est soit la réelle, la matérielle ou l’effective, soit la réalité psychique. Le rapport entre les deux est explicité dans son article de 1924, « La perte de la réalité dans la névrose et la psychose ». Realitätverlust dans l’un et l’autre cas, névrose et psychose, ce qui indique au moins que Freud n’a pas une conception déficitaire de la psychose. Je résume la thèse de Freud par une citation : « La névrose ne dément pas (verbe verleugnen) la réalité, elle veut simplement ne rien savoir d’elle ; la psychose la dément et cherche à la remplacer ». La perte de la réalité vaut donc aussi bien pour la névrose que pour la psychose, mais selon un processus différent : refoulement dans un cas, démenti de l’autre. En ce sens, la réalité dite réelle est soumise à une perte structurale, disons même constituante. D’où l’importance d’un concept un peu négligé, celui de dédommagement. La réalité dite psychique dédommage la réalité réelle de sa perte, soit par le symptôme, dans la névrose, soit par le délire, dans la psychose. Le fantasme est une entrée dans la réalité dans la mesure même où il acte cette perte. Plus précisément, dans un double mouvement, il révèle et recouvre cette pièce manquante, ce résidu chimique dont on ne peut rien extraire selon la définition du caput mortuum, que Lacan va retenir pour désigner le réel.

-II-

Lacan : il invente la catégorie de réel, qu’il distingue de la réalité. Dès « Le séminaire sur « la lettre volée » », Lacan, au moyen d’un algorithme à trois niveaux (trois et non deux, je dirai pourquoi dans un « supplément »), aboutit à la conclusion que, dans le troisième niveau, le premier niveau étant celui d’une suite au hasard de + et de –, certaines successions sont, logiquement, impossibles à écrire. C’est la première et la dernière définition du réel. Certes, dans Le moment de conclure, Lacan en propose une autre, qui relève aussi du modal : le réel est nécessaire. Ce n’est pas contradictoire : disons qu’il est nécessaire, et non pas seulement possible ou contingent, qu’il y ait de l’impossible. On peut aussi trouver chez Lacan une autre définition du réel : c’est le hasard. Chacun sait que Lacan est un élève de Mallarmé. Qu’est-ce à dire, sinon que dans la suite des + et des – du premier niveau de l’algorithme, il est impossible de prévoir le coup suivant. L’impossibilité, ici, ne veut pas dire que telle succession est impossible, comme au troisième niveau, mais qu’il est impossible – c’est le hasard- de prévoir si + ou – viendra après + ou –. C’est cette imprévisibilité que Freud a identifié dans le Fort/Da, et que la répétition a pour fonction de traiter. La répétition n’est pas une reproduction. Elle vise à élaborer une loi, la pulsion de mort n’étant rien d’autre que l’introduction de la loi dans le vivant.

La réalité maintenant. Dans sa conférence de décembre 1967 à Milan, « De la psychanalyse dans ses rapports avec la réalité », nous avons d’emblée une réponse, dans l’incipit de l’article : « Si étonnant que cela puisse paraître, je dirai que la psychanalyse, soit ce qu’un procédé ouvre comme champ à l’expérience, c’est la réalité. La réalité y est posée comme absolument univoque, ce qui de nos jours est unique : au regard de la façon dont l’empêtrent les autres discours » (Autres Écrits, p. 351). Dans cette phrase, Freud, reconnu il va de soi comme l’inventeur du dit procédé, est cependant critiqué implicitement puisque sa conception de la réalité n’est pas univoque : réalité réelle d’une part, réalité psychique de l’autre. En refusant cette scission, Lacan soutient une seule thèse, à savoir que la réalité n’est jamais apurée du fantasme, c’est-à-dire soldée de sa dette. Celui-ci peut même être dit sa consistance. C’est une thèse ne varietur chez Lacan, au point que « fantasme » devient un synonyme de « réalité ». On appréhende en ce point l’écart entre Freud et Lacan.

-III-

J’ai consacré une part non négligeable de La réalité à un philosophe, Leibniz, (1646-1716). La raison en est que j’ai été longtemps retenu par une formule qui, à elle seule, condense son génie : « Pourquoi y a-t-il quelque chose (etwas) plutôt que rien (nichts) ? » On trouve cette formule au moins à deux reprises dans son œuvre, la plus récente dans Principes de la nature et de la grâce fondés en raison, daté de 1714, deux ans avant la mort du philosophe. Je donne une interprétation abrupte de la réponse de Leibniz à sa propre question : ou bien Dieu, ou bien le néant. Le seul fait d’ailleurs de pouvoir poser ladite question confirme à  Leibniz que Dieu existe. J’ai fait un sort, dans la photographie de la première de couverture, à cette idée de néant, puisque c’est dans ce film de Jack Arnold, L’homme qui retrécit (d’après un roman de Richard Matheson), qu’on peut entendre les derniers mots du héros de ce film : « Le néant n’existe pas ! » Comme la Tête de Méduse, la notion de néant est une notion apotropaïque qui nous permet de masquer que la perte est constituante de la réalité.

J’ai voulu donner à cette proposition une démonstration rigoureuse en mettant en regard, et en opposition, la philosophie de Leibniz, celle du meilleur des mondes possibles, qui suppose Dieu en tant que garant contre ce tigre de papier qu’est le néant, et l’invention, par ce même Leibniz, du calcul infinitésimal, qui implique, a contrario, que le néant n’existe pas. Tout ce calcul en effet – je vous prie de vous reporter à mon livre pour suivre en détail la démonstration-, repose sur cette définition, ou mieux ce pari, selon lequel la convergence d’une suite vers l’infiniment petit (1, ½, ¼, 1/8 etc.) est équivalente à l’infiniment petit lui-même, bien que ce dernier reste à jamais en dehors de cette suite infinie.

Très tôt, Leibniz a avancé une définition de l’égalité sur laquelle il fonde son invention : 

« Je juge d’ailleurs que des termes sont égaux, soit si leur différence est absolument nulle, mais aussi lorsqu’elle est incomparablement petite, et bien qu’on ne puisse en ce cas dire que cette différence ne soit absolument rien, elle n’est pourtant pas une quantité comparable à celle dont elle est la différence ». C’est cette diffraction entre le système philosophique et l’invention mathématique que j’ai appelé le symptôme de Leibniz.

-IV-

Ces considérants mis en place, qu’est-ce que la réalité selon Lacan ? Ce n’est pas, nous l’avons vu, le réel. Ce n’est pas non plus le binôme freudien réalité réelle/réalité psychique. Enfin, le fantasme n’est pas exfiltrable de la réalité. Alors ? Comment tenir compte de ces trois repères ? Un des abords possibles est de prendre comme point de départ une figure topologique prélevée dans les leçons du 13 et 20 décembre 1977, dans Le moment de conclure. Il s’agit du nouage de six tores, constitués de trois couples de deux tores : le couple savoir inconscient/principe de plaisir, le couple pulsion/inhibition, enfin le couple réel/ réalité-fantasme. Il s’agit d’un nœud borroméen puisque le premier couple est dessous, le second dessus, et le couple réel/réalité-fantasme passe dessous celui qui est dessous et dessus celui qui est dessus. L’enjeu d’une psychanalyse est d’intervenir sur le couple réel/réalité-fantasme.

J’aurais souhaité être en mesure, dès aujourd’hui, de vous proposer, dans un procès topologique, une séquence concernant la fin d’une analyse, qui présenterait une option différente de celle de L’étourdit, tout en étant conforme à ce que disent Lacan et Soury dans ces deux leçons de décembre 1977. Je pense pouvoir le faire dans mon séminaire à suivre. D’ores et déjà cependant, je crois pouvoir vous indiquer que ce procès est articulable en au moins quatre temps : un retournement du tore réalité-fantasme ; sa coupure transversale ; son extraction du nœud borroméen, ainsi défait ; sa re-jointure pour reconstituer le neud bo. Je m’en tiens à un cap, qui est de tenir la réalité-fantasme comme étant ce sur quoi opère une psychanalyse, en rappelant ce qu’en dit Lacan fin 1977 : « …il n’y a pas de réalité. La réalité n’est constituée que par le fantasme… »

Pourquoi cette reconstitution du nœud borroméen consécutive à son annulation est-elle nécessaire puisqu’on pourrait penser qu’il s’agirait d’un retour au point de départ ?

Elle est nécessaire pour que, au terme du procès, le réel soit assumé comme ce qui fait cesser l’infinitude de la réalité-fantasme, en inscrivant dans celle-ci une limite, qui est celle d’un impossible à écrire, soit de la non-représentabilité du sexe. La mesure est ainsi prise de ce que le réel ex-siste, en tant que trou bordé par le symbolique. Ce que Leibniz hypostasie comme néant, c’est le réel.

Depuis toujours, je suis guidé par cet axiome que le présent explique le passé et non l’inverse. C’est pourquoi je soutiens que l’exfiltration du tore de la réalité-fantasme hors du nœud borroméen correspond à ce moment crucial dans lequel un analysant en fin d’analyse se confronte avec la détresse (Hilfelösigkeit) qu’Isabelle Morin a extrait au mieux dans une intervention sur l’angoisse et la phobie, à Bruxelles. Isabelle Morin relève en effet que l’angoisse est originairement produite, avant qu’elle n’ait une dimension phobique, par l’expulsion primaire (Austossung), qu’elle rapproche à juste titre d’une phrase de Lacan dans « Lituraterre » : « rature d’aucune trace qui soit d’avant ». Dans la discussion qui a suivi, et que j’ai pu lire, on relève une faute de lecture assez significative concernant cette formule, à savoir son remplacement par la formule fautive « rature d’aucune trace qui ne soit d’avant », soit exactement le contraire de ce qu’écrit Lacan. On peut alors avancer que l’exfiltration du tore de la réalité-fantasme hors nœud borroméen est ce par quoi un sujet peut faire l’expérience de cette entrée dans le monde qui n’a pu, originairement, être symbolisée comme telle. Cela ne signifie pas qu’il y aurait un réel avant le symbolique, mais au contraire que le réel ne peut venir à ex-sister que par cette épreuve de l’impossible à écrire, ou, si vous préférez, par cette ordalie de l’inexistence du rapport sexuel. C’est là une caractérisation incontournable de la passe, expérience qu’on peut aussi repérer chez Hölderlin ou chez tel autre poète, Rimbaud, Mallarmé, Artaud, Pessoa (grâce à ce dernier, je proposerai un deuxième supplément). En somme, il s’agit d’un pont dont les arches et les tirants sont le sujet lui-même, délesté de la dimension imaginaire de son moi, et de sa « divine comédie ».

Supplément 1 : Pourquoi trois niveaux et non deux ? Je marque ici un désaccord avec J.A. Miller dans son livre L’os d’une cure. Le premier niveau est celui de la suite des + et des –.

Le second introduit la loi de la castration de la mère, grâce à la symbolisation du « fort » dans le fort/da. Le troisième acte la division, identifiable par le symptôme, entre savoir et vérité.

Supplément 2 :  Désirer l’impossible – ne pas le vouloir. Tel est le lemme d’un des derniers hétéronymes de Pessoa (Vicente Guedes). Pessoa a des sensations ; il imagine ; il rêve ; il pense, mais il ne veut rien savoir du « perçu », censé traduire l’«extérieur ». Ainsi, il définit le périmètre de la réalité. Quant au réel, il ne s’en détourne pas. Le réel lui fait signe, en tant justement que fondant l’exigence du non-vouloir l’impossible. Ce non-vouloir prend en somme les devants pour empêcher de rendre létale une rencontre avec un désir qui ne peut qu’être pris en défaut quand il est voulu. Une conclusion s’en détache : ne pas désirer   l’impossible, mais le vouloir, est le stigmate de la folie.

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