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Témoignage cercle Lecture et Clinique a l’intention du bureau du Pari de Lacan

Auteur: BRIOLAIS Florence

Témoignage cercle Lecture et Clinique a l’intention du bureau du Pari de Lacan

  • Posté par le pari de lacan
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A l’origine du Cercle Lecture & Clinique1 il y eut cette demande que me firent, il y a un peu plus de cinq ans, des jeunes professionnels – psychologues cliniciens, éducateurs, infirmiers, enseignants – qui étaient mis en difficulté dans leurs pratiques quotidiennes de l’éducation et du soin au sein des institutions où ils intervenaient.

Ces professionnels étaient tous en cure, certains en contrôle et suivaient ou avaient suivi des formations par des organismes agréés.

Leur constat était celui-ci : le savoir acquis au cours de leur formation était mis en contradiction voire en échec dans leur pratique.

Que pouvais-je leur proposer en tant que praticienne de la psychanalyse ?

Sans doute ce dont ils témoignaient venait réveiller des souvenirs anciens de ma propre expérience en institution. Et ce que je pouvais leurs apporter ne fut pas sans référence à l’expérience passée et ses limites lors de formations cliniques d’orientation psychanalytique auxquelles j’avais participé en tant que collégienne, puis enseignante.

Ma contribution ne pouvait être que modeste. Cependant pour prendre en compte leur demande je tentais un petit pas de côté afin de ne pas répéter ce qui les avait découragé dans leur désir de lire Lacan, et de témoigner de leur travail.

Il me paraissait important, tout d’abord de proposer une approche littérale de textes fondamentaux de la psychanalyste qui permettrait à chacun de s’approprier un savoir abstrait et conceptuel propre à soutenir leur pratique.

Ouvrir le livre, y insuffler sa voix, le lire, puis dire au plus près ce qu’il dérange, met en mouvement et ouvre nos oreilles, celles qui accueillent la parole des patients, “seul médium” de la psychanalyse, tel était mon propos.

Cette expérience en étonna plus d’un. Entendre pour la première fois ce texte du séminaire fut saisissant. Lors de son séminaire, Lacan renouait avec la transmission orale des philosophes et des poètes de la Grèce antique. Il y a en effet quelque chose qui est transmis par la seule parole que la lecture silencieuse ne permet pas. La parole en acte, adressée et reçue, convoque, fait entendre quelque chose de l’énonciation singulière originelle de l’auteur. Lire à

1 Le 23 septembre 2017, lors de la plénière du Pari de Lacan, cette expérience pu être brièvement présentée.

haute voix, vient redonner de la matière vivante, charnelle à son énonciation. Nous recherchons lors de ces lectures à retrouver un écho de cette énonciation, qu’elle résonne à nouveau.

Lire le texte, l’entendre, vivifie, actualise le dire. La voix est le support du signifiant et de la lettre, elle autorise leur matérialité sonore. Lire à voix haute introduit la voix dans la chaîne des lettres, des signifiants, des mots et dans leurs articulations fait résonner différemment, fait entendre des équivoques, ouvre le texte. Lors de nos échanges nous partagions nos étonnements, nos remarques, nos questions. Ce qui émana de ce Cercle de lecture vint éclairer le travail d’élaboration clinique des cas proposés par les participants. Et ce que les cliniciens rapportaient des rencontres avec leurs patients, témoigna bientôt d’un changement dans l’écoute de ce qui émanait de leur patient.

Il me paraissait en même temps tout aussi essentiel d’approcher des questions cliniques à partir de leurs expériences auprès des personnes que ces professionnels prennent en charge. À ce propos il est important de préciser qu’il ne s’agissait pas de présenter un cas déjà élaboré, construit, mais au contraire de partir du matériel brut de situations actuelles problématiques avec leurs conséquences. Ensemble, nous allions essayer de construire la logique de chaque cas. Lors de ce travail, nous avons toujours placé au centre du débat la parole du sujet en souffrance et ses productions signifiantes : dessins, modelages, collages, expressions plastiques de toutes sortes, mais aussi les déambulations dans les cas d’autisme, les comportements symptomatiques, les automatismes, etc. De même, nous avons pris en compte les réponses du milieu de vie (internat, foyer, famille…)

Notez bien que ce qu’imposent ces élaborations de cas pour une clinique actuelle, dans un souci de « Bien-traitance » – pour reprendre un des derniers néologismes de la novlangue administrative officielle dans tous les champs du soin, imposée aux professionnels de la santé, dans leur pratique et leur formation – est celle d’une garantie de confidentialité, tant pour le patient que pour le professionnel qui est amené à se positionner et à poser des actes. Dans ce lieu de confidentialité, chacun a le droit de se tromper, de dire des bêtises. De faire état de ses ratages qui mettent toujours au travail. Freud, rappelons-le, a toujours exposé les points de butée dans sa pratique de psychanalyste et ses échecs. Par exemple Dora, célèbre cas d’hystérie, qui lui tourna les talons quand Freud voulu la convaincre qu’elle était amoureuse

de Monsieur K ; alors que l’objet de son intérêt portait sur un question « qu’est ce qu’une femme ? », qu’incarnait ô combien à ses yeux, Madame K2.

Ce qui va différencier notre expérience des formations ponctuelles, c’est que notre travail de

« Lecture et Clinique » s’élabore sur le long terme. Ceci permet de prendre en compte la demande des professionnels et l’actualité des questions qui se présentent à eux dans leur pratique. Ce que nous recherchons par une réflexion sur la pratique de chacun et les questions qu’elle soulève, c’est une mise en tension avec la théorie et son renouvèlement.

Les réponses élaborées dans un cadre confidentiel sont toujours singulières et concernent le praticien dans la conduite de son travail auprès de chacun de ses patients.

“Clinique” vient de Klinò en grec, au lit du malade, au lit de chaque malade, au cas par cas. Nous n’isolons pas des vignettes cliniques toujours indigentes3 mais visons, par une construction du cas, une clinique de l’acte du professionnel, orientée par le réel, le réel du cas, cad le symptôme. Ce travail que nous faisons ensemble s’écrit au fur et à mesure de nos élaborations : Work in progress !

Dans l’analyse des phénomènes institutionnels, l’approche politique, au sens analytique, vise à permettre au praticien de repérer sa position dans la trame collective ainsi qu’à l’orienter avec l’éthique de la psychanalyse et son médium, la parole du sujet.

Dans une visée d’extension de la psychanalyse, nous eûmes le souhait de faire un retour sur expérience auprès d’un plus large public le 25 juin de cette année.

La question du symptôme était au cœur de notre travail, tant par les témoignages des intervenants que par la mise en scène par deux comédiens d’une présentation de malade de J. Lacan à l’hôpital Sainte-Anne, 1976. Cette présentation venait questionner la nature même du symptôme en psychiatrie, question toujours d’actualité. Elle est un remarquable témoignage d’un changement de discours : c’est à dire du passage d’un discours médical, psychiatrique, à un discours psychanalytique.

Cette journée publique du 25 juin 2017 est le prolongement du travail collectif que nous menons depuis plusieurs années, travail collectif où se conjuguent l’expérience clinique et la réflexion théorique.

La construction de la clinique au cas par cas, convoque des questions éthiques. J’ai déjà évoqué la règle de confidentialité mais nous pouvons l’élargir avec l’exigence pour un clinicien de bien dire la clinque. L’éthique de la psychanalyse implique que soit respectée la parole singulière du sujet et que le traitement prodigué s’appuie sur les quatre concepts fondamentaux de son domaine : l’inconscient, le transfert, la pulsion, la répétition. Une telle conception de la clinique conduit le professionnel à respecter le symptôme de son patient où se condense sa singularité. Le psychanalyste ne vise pas l’éradication du symptôme, ni à sa rééducation qui détruirait cette singularité avec le risque que le sujet y passe aussi. Le psychanalyste vise à dévaloriser la part mortifère de la jouissance que recèle son symptôme.

Lorsque des professionnels du soin, ici psychiatrique s’adressent au psychanalyste, que peuvent ils en attendre ? La qualité de l’accueil et l’écoute de leur parole, ainsi que ce qui est restitué de la parole, des actes, comportements, automatismes et autres productions des personnes dont le professionnel s’occupe. Et par extension, dans le cadre d’un service de soin, l’approbation des réunions où circule la parole des soignants et par voie de conséquence celle des patients.

La question du symptôme était au cœur de cette journée tant dans les témoignages des intervenants que dans la mise en scène par deux comédiens d’une présentation de malade de J. Lacan à l’hôpital Sainte-Anne. Cette présentation, qui eut lieu en 1976, venait questionner la nature même du symptôme en psychiatrie, question, redisons le, toujours d’actualité.

Mais revenons à la matinée de cette journée qui fut consacrée aux interventions des participants du Cercle Lecture&Clinique, suivies d’échanges avec le public.

La matinée de témoignages :

Chaque participant du cercle disposa d’un temps pour exposer une problématique rencontrée dans sa pratique, tous travaillant en institution dans des fonctions de cliniciens, psychothérapeutes ou chargés de l’analyse des pratiques.

Ce que révélèrent leurs témoignages ne fut pas la confirmation d’un savoir établi mais plutôt leur surprise et parfois même un certain désarroi devant l’inattendu des situations. Dans l’ensemble, ils ont affaire à des formes atypiques de l’autisme et des psychoses. L’institution

fait appel à eux pour les cas qui menacent gravement l’équilibre de son fonctionnement ordinaire. Face aux situations de détresse de certains patients, les points de repère offerts par le séminaire de J. Lacan sur les psychoses, lu durant cette année 2017, valurent pour ces soignants comme autant de boussoles. Tous soulignèrent combien s’avérait pour eux nécessaire notre élaboration collective. Ces soignants doivent inventer leur pratique, bricoler des solutions.

Je vous invite, comme témoignage de cette inventivité, à découvrir une vidéo intitulée « un récital lexical », réalisé par Mathieu Didélius en 2013, qui est un bel exemple de bricolage et de création collective dans un atelier vidéo au Centre Antonin Artaud à Reims.

Mais plus simplement lors de cette journée, il y eut ce témoignage d’une situation vécue dans une MAS, où un patient sature pensionnaires et soignants avec la répétition inlassable de ses symptômes autistiques, tels que jeter tout vêtement à la poubelle ou dans la cuvette des WC. Le tracas du professionnel à propos de ce monsieur occupera tout autant les soirées du Cercle de Lecture et clinque. Mais la réflexion collective sur ces comportements symptomatiques ne fut pas sans effet, puisque le professionnel trouva la ressource pour insuffler un déclic chez ce sujet, modifiant au moins momentanément ce comportement impulsivement répétitif, signe d’un léger changement qui ne fut pas sans conséquence sur le regard que porta l’équipe soignante à l’endroit de ce patient.

Une autre expérience fut rapportée, tout aussi éprouvante, cette fois pour un professionnel en milieu ouvert avec les toxicomanes et leurs addictions multiformes qui renforcent leur misère sociale et leur dérive subjective sans pour autant apaiser leurs angoisses et leurs délires psychotiques. Maintenir une relation de soin avec un patient toxicomane sans se faire « manipuler » ou séduire fut l’enjeu de cette problématique exposée et traitée lors de nos soirées de travail.

Des témoignages d’expériences cliniques auprès d’enfants cette fois, amenèrent les professionnels à re-questionner les diagnostics posés et par la suite à les rectifier. Ces rectifications permirent aux soignants de modifier leur position dans leurs prises en charge tant auprès des enfants dont il était question que dans leur réponse vis à vis de la demande institutionnelle. Il s’agissait surtout pour ces enfants « problématiques » « incasables » de traiter un refus de tout cadre, de trouver des issues pour leur violence et leurs passages à l’acte. La demande systématique de l’institution d’accueil est d’obtenir des endiguements par

la médication, l’isolement, l’exclusion. Il faut alors au professionnel éthique et finesse pour ne pas répondre en ce sens mais privilégier l’écoute du sujet et l’analyse institutionnelle. Ce pas de côté du professionnel permet de désamorcer cette violence qui sans médiation ne fait que s’amplifier par un effet de miroir.

2- Une lecture théâtralisée

L’après-midi de cette journée, nous poussâmes l’expérience un peu plus loin, en proposant une lecture théâtralisée d’une présentation de malade par le Dr. Lacan. Nous avions sollicité deux comédiens qui grâce à leur talent se firent passeurs de ce moment clinique. “L’acteur, écrit le poète Valère Novarina, est celui qui rend visible que la parole est toujours en avant. Dans les mains de l’acteur les mots sont tenus maintenant, offerts et ouverts comme des fruits. La langue creuse l’espace. L’acteur tient devant lui la langue chair ouverte.”

Ce fut un moment fort, porteur d’un savoir. Nous savions qu’il s’agissait d’une présentation par le Dr. Lacan devant une Assemblée de psychiatres en formation. Mais ce n’était pas n’importe quel psychiatre et pas n’importe quelle présentation. Car précisément ce qui fait l’intérêt de cette présentation c’est qu’elle témoigne à un moment d’un changement de discours. “Dites moi mon petit chou” dit Lacan à Mlle Brigitte, propos bien étonnant, que ne permettrait pas une traditionnelle présentation médicale. Mademoiselle Brigitte rencontre Jacques Lacan, psychanalyste qui s’autorise dans l’échange ces mots que l’on pourrait qualifier de familiers. Mais en fait, il s’agit d’un acte par lequel Lacan initie un changement de discours. Mlle Brigitte saisit ce qui vient de lui être adressé, l’interprète tout d’abord

« comme si Lacan voulait la séduire » puis elle l’entendra comme « la manifestation affectueuse d’un père, voire d’un grand-père ».

La qualité d’écoute de Lacan et ce qu’il introduit dans cette rencontre permit à l’auditoire des jeunes psychiatres de l’époque comme au public présent ce 25 juin 2017 d’apercevoir quelque chose qui relève de la subjectivité de Mlle Brigitte, et sans doute ce qu’elle répétait dans sa vie d’errance jusqu’à son propre effacement. Il s’agissait pour nous lors de cette journée, par ce jeu théâtral, de faire passer au public ce quelque chose de ce changement de discours.

Passage d’un discours médical psychiatrique à un discours psychanalytique.

Cet entretien permit de repérer si une relation transférentielle était possible pour Mlle Brigitte. Car le transfert est au principe même de tout traitement orienté par la psychanalyse. Le public put apprécier la qualité d’écoute du psychanalyste et son souci constant d’extraire des paroles de cette patiente, ce qui pourrait prendre valeur d’enseignement, avec à l’arrière-plan la

question du nom du père que Lacan ne cessait d’élaborer. Lacan cherchera par la suite à évaluer pour chaque cas si une suppléance à cette défaillance pouvait être possible. En ce qui concerne Mlle Brigitte, sa psychose sera qualifiée de “maladie de la mentalité”. Cette modalité psychotique est très actuelle, elle renvoie à ces personnes sans ancrage symbolique stable au cours de leur existence, et vivant dans l’errance. Ces sujets égarés demandent aux soignants de les assurer d’une présence active pour accrocher et maintenir la relation transférentielle. Ce qui obligent ces soignants à être bien orientés dans leur pratique pour ne pas errer eux mêmes. Dans une leçon du 11 juin 2007 de son séminaire alterné avec Marie- Jean Sauret : Du divin au divan4, Pierre Bruno propose une lecture Borroméenne de ce cas, à partir d’une phrase clé, « j’aimerai une robe suspendue… j’aimerai vivre comme un habit… Une robe c’est une vie… Je n’ai pas de vie, je prends la vie à l’autre, c’est ce que je recherche… ». Pierre Bruno montre que cette robe est le Symbolique qui dès l’origine de ce sujet ne fut pas supporté – porté par cet Autre désirant (Autre barré) et dans la disposition de l’accueillir.

C’est la rencontre de ces sujets exilés du commun qui nous convoque à nous questionner et à nous renouveler tant dans nos approches cliniques que dans nos élaborations conceptuelles. Nous leur en sommes reconnaissants.

Florence Briolais

Bordeaux – 25 février 2018

4 Pierre Bruno, Marie–Jean Sauret, Du divin au divan, Éres : 2014, pp. 242-243.

Tag:Association, Cercle Lecture et Clinique, Clinique, Théorie

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